la pornocratie dans le paf affute les lames de la révolte
immondices culturels qui soudoient l’âme en vomissant le pus de la frustration
de pseudos clowns avides de pépètes répètent l’ennui à foison
convoquant Narcisse par son trou de balle
ne parlant de rien qui pourrait être humain
on y distingue le pouvoir tordu par le désir de régner sur les consciences affamées
de tant d’abandon maquillé si pauvre en existence
de la peur de n’être rien et justement poussière de l’humilité noble
Touche pas à mon poste
ploutocratie des énergumènes qui ne mènent qu’au dégout
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