Manger l’arbre sur le fil
la trace sur la fenêtre du téléphone
à l’entre fibre pulsation de l’infini trou
les azurs rayés de fusées approximatives
le pestacle de l’apogée de l’Homme
Mentir l’avenir pour les krills
je te monterai dans le coin coin du profit
aléatoire
Ménager ses orphées obturent
le bruit du sang qui roucoule
manger le fil qui broient du noir
quand le blanc lave sa mémoire encore
Petit hyper petit monde des humains
raconte ton histoire rouge comme le chien de l’instant
je te dirai que les mondes éclairés qui se ressemblent
c’est rien pour de son
Dévorer la vie qui virevolte
sans croire ce qui interne vibre
cher camarade planétaire c’est oui la fin
qui doit finir
Manger l’arbre qui s’enfuie
à la marge de l’être aphone
à l’antre libre salvation de la sous intrication
les raies de soute de l’orée sensitive
le tacle clé de la poche de l’âme
crée le venant dérouler le fil
je te montrerai le foin du répit
quelle histoire…
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